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assistant pédagogique

25 février 2006

contre le CPE!

Allez visiter le site de l'UNEF (mon frère est président à Metz!)

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30 décembre 2005

cours d'orthographe

30 décembre 2005

exercixes de grammaire

11 décembre 2005

fiche métier

FICHE METIER . DECEMBRE 2005

A l’aide du site http://www.onisep.fr/ , remplis les rubriques suivantes. Tu imprimeras ton travail en indiquant en pied de page ton nom, ainsi que le métier que tu veux exercer.

1)    Présente le métier que tu voudrais exercer. Explique ce qui t’intéresse dans ce choix

2)    Quelle formation faut-il suivre?

3)    Que faut-il d’après toi comme qualités pour exercer ce métier ?

4)    Imagine une journée de quelqu’un du métier.

5)    Illustre ton travail avec une image (ou une photo) en utilisant www.google.fr

24 novembre 2005

Les valeurs du temps

Certains temps peuvent avoir différentes valeurs selon le contexte.

Le présent de l’indicatif

Ÿ   Présent d’énonciation: ancré dans la situation d’énonciation, c’est le présent du moment où l’on parle. J’étais mort et j’avais perdu ma femme. Aujourd’hui je suis un homme médiocre. Je marche et je rêve.

Ÿ   Présent de narration: rapporte au présent des actions passées. Il rend l’action plus vivante, donne une impression de “direct” alors que les faits appartiennent au passé.

  La nuit était sombre. Un cri déchira la nuit. Soudain la porte s’ouvre.

  Attention!!! Ce présent est coupé de la situation d’énonciation (du présent de celui qui parle) car il est mis à la place d’un passé simple.

Ÿ   Présent de vérité générale: celui des définitions, de ce qui est toujours vrai.

  Le chat est un animal à quatre pattes. Un mort n’est pas jaloux.

Ÿ   Présent pour le passé récent: J’arrive tout juste du travail.

Ÿ   Présent pour le futur proche: Il part demain en vacances. Il arrive dans cinq minutes.

Ÿ   Présent de répétition: Il se lève tous les jours à cinq heures.

Ÿ   Présent duratif: Cela fait des mois qu’il pleut.

L’imparfait de l’indicatif:

Ÿ   Action secondaire par rapport au premier plan qui est au passé simple, vue dans son déroulement: Il marchait tranquillement dans la rue quand soudain quelque chose attira son regard.

Ÿ   Description: La coque du bateau était rouge et bleue.

  Les verbes de la description à l’imparfait sont vus en cours de déroulement: Le bateau voguait. Il pleuvait.

Ÿ   Répétition, habitude passée: Elle se levait tous les matins à 7 heures.

Ÿ   Commentaires du narrateur: Notre héros était bien lâche!

Le conditionnel présent

Ÿ   Valeur de conditionnel: fait hypothétique, incertain, soumis à une condition:

  Si j’étais riche, je m’offrirais un beau voyage. (soumis à une condition)

  Cet homme serait l’homme le plus riche du monde. (ce n’est pas sûr)

Ÿ   Valeur de futur dans le passé:

  Quand j’étais petit, je pensais que je m’offrirais un beau voyage à vingt ans.

  Il a dit que tu viendrais me voir aujourd’hui.

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24 novembre 2005

L'autobiographie

L'autobiographie : un genre littéraire

I) Généralités

Définition

Étymologiquement, le terme vient des trois mots grecs suivants : autos (soi-même) ; bios (la vie) et grafein (écrire). Une autobiographie est donc un récit dans lequel une personne raconte sa propre vie.

II) Les caractéristiques de l'autobiographie

1. Un récit rétrospectif de sa propre vie

Toute autobiographie prend pour personnage central l'auteur lui-même de l'oeuvre, et lui seul. Tous les événements n'existent que par rapport à lui. Tout est rapporté selon son point de vue. Une autobiographie est toujours un récit rétrospectif, c'est-à-dire le récit d'événements passés de la propre vie de l'auteur. Il arrive que l'auteur se réfugie derrière un pseudonyme (prénom ou nom de famille imaginaire) : le récit reste autobiographique si les événements sont ceux qu'a vécus l'auteur.

Une autobiographie passe nécessairement par le récit de l'enfance de l'auteur, de manière plus ou moins brève, car l'enfance constitue un moment essentiel de la vie, celui où se forge la personnalité du futur adulte.

Par la suite, l'auteur choisit d'insister sur certains épisodes ou d'en passer au contraire d'autres sous silence. Ces choix sont significatifs de la personnalité de l'auteur et de son projet autobiographique.

2. Le pacte autobiographique

Lorsqu'il publie son autobiographie, l'auteur passe une sorte de pacte avec son lecteur, appelé "pacte autobiographique" : il s'engage à dire le vrai ; il convie son lecteur à juger le récit en fonction de son authenticité. Il se pose à la fois comme auteur, narrateur, personnage principal du récit, respectant la règle implicite de la vérité. Le lecteur, de son côté, devient témoin, juge, confident, voire complice de l'auteur dont il lit la vie.

Toutefois, il est évident que ce souci avoué de sincérité comporte des limites : le souvenir est toujours sélectif et subjectif ; il y a toujours interprétation et mélange entre souvenir et imaginaire. Consciemment ou non, l'auteur omet certains détails, en enjolive d'autres, les invente même, parfois... Certes, l'auteur rend compte de sa vie, mais il la reconstruit en même temps. On peut donc toujours s'interroger sur la sincérité de l'auteur, car une autobiographie n'est pas seulement un inventaire neutre, objectif, des événements de la vie de l'auteur.

3. Les enjeux de l'autobiographie

On peut s'interroger sur les raisons qui poussent quelqu'un à publier son autobiographie. Ces raisons sont de deux types : les unes concernent la relation que l'écrivain entretient avec lui-même ; les autres sa relation au lecteur.

a) L'autobiographie comme miroir

Écrire le récit de sa propre vie peut, vis-à-vis de soi-même :

- constituer un plaisir : le plaisir de revivre des moments passés ; l'auteur contemple sa vie, souvent en particulier son enfance, avec une joie mêlée de nostalgie. Il peut éprouver ainsi l'impression d'arrêter le cours du temps, voire de l'inverser, puisqu'il peut, grâce à la réminiscence, retrouver les moments privilégiés qu'il a vécus dans un passé pourtant révolu.

- répondre à un besoin : le besoin de comprendre, d'analyser par l'intermédiaire de l'écriture, ce qu'on a vécu : on nomme introspection ce souci d'analyser sa propre vie ; dans certains cas, l'auteur éprouve le besoin de chercher un sens à sa vie ; de résoudre une crise personnelle.

b) L'autobiographie comme témoignage

Écrire le récit de sa propre vie peut également, vis-à-vis des lecteurs :

- correspondre à un désir : le désir de laisser un témoignage des événements

dont on a été témoin, aux yeux de la postérité.

- répondre à un besoin : le besoin de laisser un autoportrait qu'on juge plus fidèle que ceux que d'autres peuvent dresser de soi ; dans certains cas, le besoin de se justifier aux yeux de la postérité, lorsqu'on estime avoir été mal jugé par ses contemporains.

III) Les genres apparentés à l'autobiographie

1. Le journal intime : c'est un genre littéraire pratiqué par bien des gens : contrairement à l'autobiographie, le journal intime ne propose pas, en général, de retour en arrière, mais les événements y sont racontés au jour le jour, nourris de commentaires personnels. Le journal intime n'est pas d'abord écrit pour autrui ; d'où la difficulté qu'on peut éprouver à le lire : il n'a pas d'autre destinataire que l'auteur lui-même (sauf si l'auteur décide de le publier : c'est un "faux journal", dans ce cas). On appelle diariste l'écrivain qui tient un journal intime.

2. La correspondance : comme le journal intime, la correspondance entre deux personnes n'a pas pour but premier d'être publiée et lue par le public. C'est souvent après la mort d'une personne célèbre que son entourage accepte de publier une partie de sa correspondance, lorsqu'il apparaît que les lettres qu'elle contient éclairent la personnalité de leur auteur sous un jour intéressant pour la postérité.

3. Le roman personnel, ou autobiographie romancée : C'est un récit écrit à la première ou à la troisième personne ; mélange d'événements réels et d'autres, fictifs, l'autobiographie romancée transfigure, recompose le réel ; dans ce type d'ouvrage, l'auteur ne conclue pas de pacte avec son lecteur, puisqu'il ne s'engage pas à rendre compte véritablement de ce qu'il a vécu.

4. Les mémoires : Ils constituent un témoignage sur l'époque à laquelle on a vécu, sur les hommes qu'on a côtoyés, sur les événements auxquels on a participé. Va et vient entre l'histoire personnelle et l'histoire collective. Le mémorialiste se veut objectif : il veut apporter un témoignage fiable pour les historiens de demain auxquels il veut transmettre sa vision personnelle de la période à laquelle il a vécu.

20 novembre 2005

L'affiche rouge

lafficherouge1

20 novembre 2005

suite du cours.

Le cours s'appuie sur l'étude du poème d'Aragon "le Roman inachevé"interprété par Léo Ferré(http://perso.wanadoo.fr/scl/lafficherouge.htm ), mais aussi par l'étude de l'Affiche rouge dont voici l'histoire.  http://www.herodote.net/19440221.htm

On procèdera à une description de cette fameuse "Affiche Rouge"

L’IMAGE : COMMENTAIRE DE L’AFFICHE

Comment comprenez-vous la question et l’exclamation en haut et en bas de l’affiche ? Quelles significations en tirez-vous ?

-          en haut de l’affiche : « des Libérateurs ? » blanc sur fond rouge (blanc de leur prétendue innocence)

-          en bas de l’affiche : « la libération par l’armée du crime ! » rouge sur fond noir

Jeu de question / réponse (cf. ponctuation). Les hommes représentés sur l’affiche se font passer pour des libérateurs, alors qu’ils ne sont que des criminels.

C’est une affiche de propagande, crée par les nazis pour décourager les mouvements de résistance et les criminaliser.

Que pensez-vous des couleurs de l’affiche ? De son graphisme ?

Les couleurs employées sont le Rouge qui évoque le  sang,  le noir lui symbolise la mort, les photos choquent. En partie supérieure les médaillons de 10 hommes, soulignés par une sorte de V, en bas, 6 photos rectangulaires qui représentent deux hommes assassinés, trois trains déraillés et des armes , donc des actes de violence, de terrorisme. Il est sous-entendu que les responsables de ces actes sont les 10 hommes représentés.

     Quelle est l’intention de l’auteur de l’affiche ?

L’affiche destinée à choquer le spectateur, à susciter chez lui un sentiment d’indignation à l’égard des résistants. Elle présente ces résistants comme des criminels sans scrupules, des terroristes dont il faut se méfier.

Dans un second temps, nous étudierons aussi l'engagement à travers les chansons (Manhattan Kaboul de Renaud) et par la peinture (Guernica de Picasso)

20 novembre 2005

La poésie engagée

Cours destiné aux Troisièmes " Découverte Professionelle"

QU’EST-CE QUE

LA POESIE

ENGAGEE

?

La poésie engagée qui se met au service d’une cause précise dans un contexte historique précis. Le poète y fait référence à des éléments réels précis et vérifiables. Elle incite le lecteur à réfléchir et à agir: elle peut délivrer un message d’espoir en l’avenir ou mettre en garde contre l’oubli, incitant ainsi au devoir de mémoire. Elle est d’une grande force argumentative car elle cherche à convaincre le lecteur.

Articles du Petit Robert :

Engagement = (sens n°10) (1945) Acte ou attitude de l’intellectuel, de l’artiste qui, prenant conscience de son appartenance à la société et au monde de son temps, renonce à une position de simple spectateur et met sa pensée ou son art au service d’une cause.

Engagé = (1945) Mis par son engagement au service d’une cause.

Le poète, de même que l’écrivain, le chanteur, le peintre,… peut, dans un contexte historique précis (guerres de religion, guerres mondiales, périodes de misère sociale,…) décider de mettre son art au service d’une cause. On parle alors de poésie engagée.  

La poésie engagée est toujours ancrée dans la réalité, dans l’Histoire. On trouve donc souvent des noms de lieux, de personnes, et des dates.

2.    Caractéristiques formelles :

La poésie engagée met en jeu des symboles, des personnifications, des allégories. Elle incarne les idées par des images concrètes.

Les figures de style : hyperboles, métaphores, comparaisons,.. sont nombreuses, et utilisées dans une démarche argumentative, afin de solliciter l’imagination et la sensibilité du lecteur pour susciter son émotion et son adhésion.

Le rythme et le jeu sur les sonorités sont particulièrement importants dans un poème engagé : la reprise d’expressions ou de structures syntaxiques (répétition et anaphore), les rejets et les enjambements, les parallélismes et les oppositions, les assonances et les allitérations, créent un dynamisme musical qui facilite la mémorisation et la diffusion des textes.

Ces caractéristiques se retrouvent dans le poème classique .

3.    Thèmes :

Le poète prend la plume lorsque les droits de l’homme sont bafoués dans différents domaines :

-         religieux (intolérance, fanatisme)

-         social (injustice, inégalité, misère, racisme…)

-         politique (guerre, dictature, violence…)

4.    Visées :

Le poète engagé vise à :

-         révéler la réalité, témoigner, dénoncer

-         transmettre un message d’espoir

-         convaincre les hommes d’adhérer à une cause, défendre des valeurs

-         faire agir

-         mettre en garde contre l’oubli, rendre hommage

Pour atteindre ces objectifs, le poète engagé doit :

-         toucher la sensibilité du lecteur : l’émouvoir, l’indigner

-        toucher l’esprit du lecteur : le faire réfléchir, l’amener à une prise

          de conscience

24 octobre 2005

bonjour!

Etudiante en Master 2"Géographie Aménagement Risques et Défense "à l'université de Metz, je prépare en même temps les concours de Conseiller Principal D'Education et de Professeur des Ecoles.

J'ai postulé au poste d'assistante pédagogique dans l'académie Nancy Metz et j'ai été contactée assez rapidement par le proviseur adjoint du lycée Les Grands bois d'Hayange. Je commence après les vacances de la Toussaint.

Travaillant beaucoup via Internet, je suis étonnée du manque d'info sur cette mesure mise en place, alors j'ai pensé faire partager mon expérience, tout comme ma préparation au concours de CPE.

En espnt que cela puisse aider quelqu'un!

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